Sysiphe en Somalie par Michel Polac
Carnets de Campagne par Bernard Magnier pour Jeune Afrique
« Un chant lyrique qui est aussi un roman écrit dans une langue superbe » Le Méridional
« Un exercice tout en délicatesse
au milieu de l’horreur » Lire
« Une série de dépêches-coup de poing qui vous en mettent plein la gueule et le cœur » Télérama
Impressions d'Afrique par Bruno Gendre pour Les Inrocks
« Un livre souvent bouleversant » Magazine littéraire
Critique de "Kao le désordre des hommes" par Jean-Nicolas Berniche pour Evene.fr
Y a –t-il une couleur du regard dans la nuit noire ?
« Et l’on se dit que Campagne est de la race de ces grands écrivains-voyageurs qui ne passent jamais quelque part sans ramener les odeurs et la lumière, le son des voix et les couleurs »
Le Soir Bruxelles
Une longue psalmodie de mort par Fabrice Lanfranchi pour L'Humanité
l'écriveur de reportages
A propos de Derniers rounds : « Au-delà d'une description d'une fin de vie, du mécanisme d'une maladie qui creuse nos mémoires, j'ai trouvé surtout ce regard à perte de vue, ce questionnement sans réponse, où le fils essaie de retrouver dans les cendres (vainement ?) l'étincelle originelle dont il serait issu.... » Jean-Paul Basly (éditeur)
« N'y allons pas par quatre chemins, j'ai adoré ! Quelle claque ! Ce roman de 150 pages est d'une originalité et d'une force incroyables, et je pèse mes mots. L'écriture de JP Campagne est un régal qui oscille entre poésie, brutalité, descriptions des lieux et des personnes qui pourraient paraître courtes et qui pourtant sont juste suffisantes. J'aime beaucoup le travail de la maison Jigal, j'y ai lu beaucoup d'excellent romans, celui-ci entre dans mon panthéon jigalien. Croyez-moi sur parole : inévitable, chaud, poisseux, lourd, râpeux, la violence y est présente sans être décrite on la ressent, noir, très noir, éléphantesque si je puis me permettre. » Lyvres.fr
« Une écriture au fer rouge, une
succession de très courts chapitres, des mots qui vont à
l’essentiel, un souffle comme celui de la savane, une lecture d’une
traite, en apnée et une brûlure à l’âme quand le livre se
referme. Un immense auteur. »
Dora-suarez.com